dimanche 31 janvier 2010

Update vidéos Ouvéa

Rapide petit update afin de vous poster deux vidéos prise à Ouvéa. La première montre un requin citron que l'on a pu observer à quelques mètres du bord de la plage (je n'ai pas les pieds dans l'eau), la deuxième présente l'extrême nord d'Ouvéa et la première pléiade du nord situé juste en face.

Bon visionnage!

Ponte de tortue sur la plage de Bourail (29-30/01/2010)

Julien : Chaque année, de novembre à mars, arrive la saison de ponte des tortues grosse tête. La plage de la Roche Percée, à Bourail, devient alors le deuxième plus important lieu de ponte du Pacifique Sud (le premier se situant en Australie, au niveau de la Gold Coast). L’association Bwara, depuis quelques années, a décidé de s’occuper de la protection de cet important site de ponte en menant des actions de protection direct mais aussi de sensibilisation sur le terrain. Leur rôle est simple :


  • Protéger les tortues lors de leur montée sur la plage (une tortue dérangée fera demi-tour sans pondre.
  • Localiser le nid lors de la ponte afin placer au-dessus de celui-ci une cage de protection. Cela permettra de protéger le nid des chiens errants et autres animaux.
  • Baguer la tortue lors de la descente de celle-ci (pour le recensement).
  • Sensibiliser le public et les usagers de la plage, parfois assez fréquentée, face au problème de menace d’extinction de l’espèce. On estime en effet que ces quelques dernières dizaines d’années, le nombre de tortue grosse tête à diminuer de près de 95%.
Il faut savoir que malgré l’importance du site, seule 3 à 4 tortues viennent pondre chaque nuit lors du pic de reproduction (décembre-janvier). Chaque nid contient environs 100 œufs. Sachez que seul 1 œuf sur 1000 donnera une tortue adulte.
















Il y a deux semaines, nous avons donc décidé, avec la bande habituelle (Olwen, Mika, Lio, Andrine, Julien et Séverine), de nous inscrire à une tournée de surveillance de l’association Bwara. Comme il n’y avait plus de place pour la tournée du soir (se déroulant entre 21h et 1h du matin), nous nous sommes tous inscrits pour la tournée du matin (5h-9h). Réveil donc le dimanche à 4h30 afin d’être sur la plage à 5h00. Nous n’avons malheureusement pas vu de tortues cette fois là. Cependant, 3 tortues étaient venues pondre la nuit. Nous avons donc pu admirer les traces énormes qu’elles font en se trainant sur le sable mais aussi les premières traces d’émergence de l’année (moment où les petites tortues quittent leur nid pour rejoindre l’océan). Nous avons également pu constater que la tortue-mère, après avoir pondu et rebouché le trou, dérange le sable se trouvant à côté afin de créer un « leurre » et rendre plus difficile l’identification du nid et brouiller les pistes. Pour finir nous avons pu observer la mise en place des cages de protection des nids…mais toujours pas de tortues.
















Bien que Julie n’ait pas été trop déçue (pour rappelle, elle a passé 1,5 mois dans une réserve guyanaise à s’occuper de la protection des tortues luths), je suis resté un peu sur ma faim. Nous avons donc décidé de repartir ce vendredi soir afin d’aller les observer de nuit. En effet, les tortues privilégient certaines conditions pour pondre :
  • la nuit (parfois au crépuscule ou à l’aube) pour éviter la chaleur.
  • à marrée haute afin de parcourir le moins de distance possible hors de l’eau (les tortues grosse tête pèsent 100-150kg).
  • de préférence hors période de pleine lune pour ne pas trop se faire voir.
Nous sommes donc arrivés vendredi soir (nuit, marrée haute, pleine-lune nous permettant une meilleure observation car les lampe sont interdites) sous une pluie battante à la plage de la Roche Percée. Après avoir mangé et que la pluie ait cessée, nous sommes partis nous balader sur la plage. Très vite, nous avons croisé le garde de l’association qui nous a proposé de le suivre. Après quelques explications et une petite heure de marche, nous avons vu une trace dans le sable. Une tortue grosse tête avait commencé à creuser au sommet de la plage. Quand elle a commencé à pondre, le garde nous a laissé approcher la tortue de dos, il n’y a en effet plus de risque qu’elle fasse demi tour. Après avoir marqué l’emplacement du nid, il a demandé mon aide pour le baguage : lorsque la tortue se dirige vers la mer, il faut la bloquer, l’aveugler avec un linge afin de la stresser le moins possible et essayer de l’immobiliser (leur force est colossale !). Une bague numérotée est alors placée sur chacune de ses nageoires avant. Ensuite nous l’avons tranquillement laissé retourner à la mer.

Cette deuxième visite a donc été beaucoup plus concluante que la première. Nous n’avons toujours pas vu d’émmergence mai qui sait, peut-être retournerons-nous d’ici la fin de la saison pour tenter de voir ces bébés tortues se ruer ers la mer.

Ouvéa : photos effacées...retrouvées!!!

Julien : C’est grâce à une collègue de Julie (merci Audrey) que nous avons eu l’idée de rechercher sur internet un petit programme informatique permettant de retrouver des fichiers images et vidéos effacés par erreurs… Et ça a fonctionné : nous avons retrouvé plus de 90% des photos et vidéos que j’avais, je ne sais toujours pas comment, effacées.

Julie : voici donc le récit de notre dernier jour à Ouvéa (31/12/2009).
Nous avions rendez-vous à 8h30 au Nord de l’île avec un guide de la tribu de St Joseph, prénommé Antoine.



Il nous a emmené avec d’autres visiteurs sur la plage de St Joseph, que nous avons parcouru jusqu’à la pointe Nord de l’île, face à la première pléiade du Nord. A cet endroit, de nombreux requins viennent se reproduire et mettre bas dans ces eaux peu profondes. Nous avons pu observer les silhouettes des requins (requins citrons) qui s’approchaient vraiment très près du bord de la plage !

Antoine nous a raconté de nombreuses anecdotes à propos de l’île, et nous a également parlé du problème de l‘érosion des plages dû à la montée des eaux, très ressentie par les habitants de cette petit île. Nous avons également pu le regarder pêcher à l’épervier (filet), il est malheureusement rentré bredouille. Il nous a ensuite emmené chez lui où sa femme avait préparé une délicieuse salade de papaye verte avec la meilleure vinaigrette que nous avons eu l’occasion de gouter. Ce sont vraiment de gens très accueillants.

Pour terminer la journée, nous sommes retournés (encore) au pont de Mouli et avons ensuite admiré le coucher de soleil à notre camping avant d’aller manger au « Paradis d’Ouvéa ». Il s’agit du seul hôtel luxueux de l’île fréquenté essentiellement par des japonais. Le décor est très design, la nourriture est bonne mais le service moyen, donc comme beaucoup de choses ici, un peu cher pour ce que c’est (heureusement que nous avions une réduction grâce au passeport gourmand).






Vous pouvez retrouver le récit et l'ensemble des photos de nos 4 jours à Ouvéa en cliquant su le lien suivant : http://julienetjulie.blogspot.com/search/label/Ouv%C3%A9a

mercredi 27 janvier 2010

Attaque de requin à Nouméa (26/01/2010)

C'est la deuxième attaque de requin dont nous entendons parler depuis notre arrivée. La première s'est passée à Bourail où un grand requin blanc à tué un jeune surfeur. Hier, un requin taureau s'est attaqué à un véliplanchiste à la plage de Magenta (Nouméa), heureusement sans le blesser.

Voici un extrait des nouvelles calédoniennes, le journal local, paru le 27 janvier 2010 :
Attaque de requin plage de Magenta

D’après les spécialistes, le phénomène est extrêmement rare. Hier après-midi, un requin s’est attaqué à une planche à voile. Andric, le jeune moniteur de 24 ans, a eu droit à une belle frousse. Tout comme la dizaine d’enfants qu’il encadrait. Il nous a raconté sa rencontre furtive.
Les traces ne sont pas forcément très impressionnantes. Sur le dessous de la planche à voile, il faut presque chercher la série de trous pour les voir. Pourtant, leur alignement ne laisse guère de place au doute : la mâchoire d’un requin est bel et bien passée par là. « Et je peux vous dire que je l’ai bien senti remuer. Il a agité la planche comme un chien l’aurait fait avec son os. Je vais certainement en rêver cette nuit… » Andric a eu droit à une bonne montée d’adrénaline.
Hier après-midi, Andric et Philippe encadraient un groupe de dix enfants d’un groupe « sport action », une activité proposée par la mairie pendant les vacances. Le groupe s’essayait à la planche à voile, sur la plage de Magenta, côté aérodrome. « J’ai emprunté la planche d’un gamin pour faire un aller-retour, le temps de la régler. A une centaine de mètres du bord, à peine, alors que la hauteur d’eau parvenait au genou, j’ai vu le requin », explique Andric, 24 ans, prof de sport et animateur pendant les vacances.
« Le requin a sorti la tête de l’eau pour attraper la planche. Il l’a secouée et j’ai préféré sauté dans l’eau. »
Le squale est alors situé perpendiculairement à la trajectoire du véliplanchiste. « J’ai un peu ralenti pour le regarder, parce qu’on a l’habitude d’en voir dans ce secteur : des requins léopards, ou de sable, qui sont inoffensifs. Tout au long de la semaine dernière, on en a d’ailleurs vu une dizaine. » Sauf que cette fois, l’attitude du requin s’avère un peu différente. « Je l’ai vu faire demi-tour, accélérer, sortir la tête de l’eau et attraper la planche. Il l’a bien secouée. J’ai préféré la lui laisser et j’ai sauté dans l’eau. C’est là que j’ai senti sa queue taper contre ma jambe. J’ai l’impression que ça a duré une éternité. » En réalité, une dizaine de secondes, le temps que le requin relâche la planche et file vers le large.
La stupeur passée, Andric récupère la planche et se rue vers le bord en intimant aux enfants l’ordre de sortir de l’eau. Avec la VHF, le contact est rapidement pris avec les autres groupes nautiques de la mairie. « Tout le monde s’est retrouvé sur la plage. Demain (aujourd’hui), on ne retournera pas dans l’eau », assure le référent des activités nautiques.Hier après-midi, après la légère pointe d’angoisse, les animateurs ont retrouvé leur bonne humeur : au début de la semaine, ils avaient demandé aux enfants de trouver un nom pour leur groupe. Ils avaient choisi celui des requins.

Nouvel an à l'ilot Tenia (31/12/2009-02/01/2010)

Jeudi 31/12/2009

Julie : Après avoir rapidement défait et aussitôt refait nos valises après notre retour d’Ouvéa, nous sommes partis à Boulouparis (1 heure de route) afin de monter dans le bateau taxi direction l’ïlot Ténia accompagnés de Lionel, Andrine, Julien (l’autre), Séverine et Jess (une amie de lio que nous n’avions pas encore eu l’occasion de vous présenter).

L’îlot Ténia est accroché à la barrière de corail et est classé réserve naturelle pour la diversité de son lagon mais aussi pour les nombreuses pétrels qui y habitent. Ce sont des oiseaux qui nichent dans des trous creusés dans le sable, ils sont assez maladroits à terre et sont une proie facile pour les chiens. Leur cri ressemble aux pleurs d’un bébé, la nuit cela fait un drôle d’effet !
L’îlot est magnifique mais, comme nous nous en doutions malheureusement, nous n’étions pas les seuls à vouloir y passer le réveillon… Nous avons donc essayé de trouver un coin tranquille et ombragé pour installer notre petit campement.

Pour le côté « robinson » on repassera, nous avions apporté une grande quantité de nourriture et de boissons et étions bien équipés (hamacs, glacières, lampes frontales, etc). Nos voisins, avait poussé le vice encore plus loin en apportant un groupe électrogène pour leur spots lumineux et la sono !! Le doux bruit du groupe électrogène nous a donc bercés pendant les deux nuits que nous avons passées sur l’îlot.

Une fois installés, nous avons fêté dignement la nouvelle année avec un menu de brochettes de crevettes et de thon cuits au feu de bois (mm). Mais malheureusement sans bulle car julien avait oublié le crément (l’autre julien, pourtant Français, n’avait pas compris ce que « crément d’alsace » voulait dire sur le liste de courses, donc il n’en a pas acheté :)
Les garçons ont voulu fêter 2010 par un petit bain de minuit et se sont tout simplement jetés par mégarde sur du corail urticant ! Ca se soigne en mettant du jus de citron dessus (remède local ; dixit Séverine), ils ont apprécié je crois J.

Vendredi 1er janvier 2010

Nous avons commencé l’année par une journée d’activité très intense : récupération de la fiesta de la veille, sieste dans les hamacs, baignade dans le lagon pour se rafraîchir, lecture, etc. La vie est dure !

Nous avons passé notre deuxième nuit sur l’îlot en discutant notamment du fait que toute cette affluence de gens parfois accompagnés de chiens ( !) dérange énormément les pétrelles qui ont l’air assez désorientées par toutes les lumières nocturnes.

Samedi 2/01/2010
Dernière journée. Le bateau taxi nous a emmenés sur la corne de Ténia pour faire du PMT. Le récif corallien est en bon état (réserve), a de belles couleurs et accueille tortues et requins, dont un petit pointe blanche que nous avons eu l’occasion de photographier.

Nous sommes ensuite rentrés à Nouméa, et avons apprécié notre première boisson fraiche (les glacières n’ont pas tenu très longtemps sur l’îlot), notre première douche chaude et notre première nuit dans un vrai lit depuis plus d’une semaine pour Julien et moi.

Avec nos escapades à Ouvéa et à Ténia, nous avons passé 7 jours en camping au grand airet au bord de l’eau (sans prendre trop de coup de soleil, merci les lycras !). Nous avons vraiment eu du beau temps. Les vacances sont terminées et le retour à la réalité et au boulot le lendemain à été un peu difficile !

vendredi 22 janvier 2010

Ouvéa (27-31/12/2009)

Ouvéa est considéré comme l’un des plus beaux atolls du Pacifique. La côte ouest de l’ile étire ces 25km de sable blanc face au lagon turquoise. La cote est, quant a elle, est en contact direct avec l'océan profond.

"Bercé par le ciel bleu et ceinturé par l’immensité de l’horizon, Ouvéa, longue de 35 km du nord au sud est protégé des flots par un récif corallien. L’ile, à certains endroits, ne dépasse pas 40m de large". L’atoll est constitué de deux îles principales, la plus grande située au Nord, et l’île de Mouli au Sud. Ces deux iles sont reliées par un petit pont, le célèbre pont de Mouli. Deux archipels, les pléiades, en délimitent l’ensemble au nord et au sud.

Deux langues vernaculaires coexistent sur l’ile : l’une d’origine mélanésienne (le iaaï), l’autre d’origine polynésienne est arrivé avec les Wallisiens au 18ème siècle.

En 1988, Ouvéa fût le théâtre d’un événement majeur de l’histoire calédonienne lié au conflit entre indépendantistes kanaks et loyalistes (partisants du maintient de la Nouvelle-Calédonie dans la République Française). La gendarmerie de l’ile fut attaquée et des gendarmes français furent pris en otage et apparemment bien traités. Suite à cela, les militaires français donnèrent l’assaut et les 19 preneurs d’otage kanaks furent tués ainsi que deux militaires français. Le mémorial des 19 est toujours visible sur l’ile. Un an plus tard, lors de la commémoration de l’événement, Jean-Marie Tjibaou, leader indépendantiste pacifique, fût assassiné par un indépendantiste radicale kanak.

Dimanche 27/12/2009

Nous avons pris l’avion à l’aéroport de Magenta à 7h30. L’atterrissage à Ouvéa une petite heure plus tard nous a permis d’admirer cet atoll vu du ciel, une bonne entrée en matière !

Nous avions décidé de séjourner au camping de Moagué, situé dans la tribu de Mouli. Le camping, situé sur une plage de sable blanc et aux abords d’un lagon plus que turquoise, est très bien tenu. Le lieu est tout simplement magnifique.

Ce jour-là nous avions prévu d’effectuer une excursion aux falaises de Lékiny. Nous nous sommes donc rendus au camping de Lékiny, en vélo, et sommes montés sur le bateau de notre guide accompagnés d’autres touristes. Il nous a alors emmenés, par le lagon et ses eaux colorées, sur les falaises de corail. Le guide nous a ensuite déposé près de la passe (reliant le lagon et l’océan) pour une petite séance de PMT à la recherche du requin dormeur habitant le lieu.


























Au retour, nous nous sommes arrêtés sur le pont de Mouli pour admirer les innombrables nuances de bleu du lagon à cet endroit. Sous ce pont passent régulièrement des raies et des tortues que nous avons ensuite été observés sous l’eau, munis de nos palmes, masques et tuba (attention au courant !).

Lundi 28/12/2009

Ce jour là, nous avions prévu de louer une voiture pour explorer toute l’île (35 km de long). Nous nous sommes donc rendus au Nord de l’île. En chemin, nous avons acheté des savons fabriqués à Ouvéa avec de l’huile de coco et visité le mémorial des 19 (voir ci-dessus). Nous nous sommes ensuite arrêtés à deux trous d’eau : le trou bleu et le trou aux tortues.

Les trous d’eau sont nombreux sur l’île et contiennent de l’eau douce, saumâtre ou salée. Certains d’entre eux sont si profonds que leur profondeur exacte n’a pas pu être déterminée (le fils Cousto est, par exemple, venu plonger au trou bleu sans jamais parvenir au fond) !

Le trou bleu, assez ordinaire, abrite de nombreux gros poissons. Le trou aux tortues, en revanche, porte ce nom à cause des nombreuses tortues que l’on peut y voir venir respirer.













Nous avons également parcouru les routes du nord de l’île avec émerveillement, les plages immaculées de l’île avec d’un côté le lagon et de l’autre l’océan sont magnifiques.












Mardi 29/12/2009

Rendez-vous à 7h30 à Mio Palmo Plongée, le seul club de l’île.

Direction les pléiades du Sud pour deux plongées. Lors de la première, à la passe du Styx, nous avons eu la chance d’observer une nurserie de requin où jeune requins, mais aussi des adultes se rassemblent. Julien a compté 11 adultes. Impressionnant ! Certains requins n’étaient vraiment pas farouches et s’approchaient. Ce n’était pas toujours très rassurant !

La seconde plongée s'est déroulée sur le site appelé Kamelot. Un très beau corail en forme de rose tapissait les fonds. A nouveau, nous avons pu observer poissons multicolores et requins (dont un requin léopard).

Deux très belles plongées ! Nous avons du voir une 20aine de requins, une architecture magnifique et des coraux étonnants.

Nous avons profitez de l’après-midi pour nous reposer au camping, la première plongée s’étant déroulée à contre courant, nous étions épuisés.

Mercredi 30/12/2009

Pour ce dernier jour, nous avions également loué une voiture pour nous rendre à l’excursion de la « nurserie de requin » de la baie de Saint Joseph situé au Nord de l’île.

Le guide, Antoine, nous a emmenés sur les plages à l’extrême Nord de l’île où de nombreux requins s’approchent dans les eaux peu profondes pour se reproduire et mettre bas. Il est donc très facile de les observer, c’est assez impressionnant également !

Vous n’aurez malheureusement pas les photos de cette excursion, nous les avons malencontreusement effacées ! Cependant, nous devrions revoir un couple que nous avons rencontré là-bas. Nous vespérons pouvoir vous poster quelques-unes de leurs photos.

Antoine nous a ensuite emmenés chez lui où nous avons dégusté une des meilleures salades de papaye verte que nous avons eu l’occasion de gouter.

Nous avons fini la journée au pont de Mouli, à photographier les raies.













Jeudi 31/12/2009

Nous avons quitté à regret ce magnifique atoll au petit matin afin de rejoindre des amis pour passer le Nouvel An à l’îlot Ténia.