Julie : Nous avons retenté notre chance dans la baie de Prony le dimanche 12 septembre avec Captain Woodin.
Et nous n’avons pas été beaucoup plus chanceux que la fois précédente. Nous n’avons pas pu observer de baleine à bosse mais un rorqual pendant quelques minutes avant qu’il ne plonge.
Nous avons par contre eu de la chance avec la météo : encore une très belle journée ensoleillée.
Voici l’occasion rêvée de vous parler du village de Prony. Didier (le propriétaire du bateau Captain Woodin) y possède une maison. Le village ne compte actuellement que 2 habitants permanents et regorge de vestiges du bagne de Prony. Un pan de mur en ruine se trouve d’ailleurs dans le jardin de Didier !
« Fondé à l’origine, en 1867, pour ravitailler Nouméa en bois, il fut transformé en pénitencier en 1873. Cent cinquante forçats y furent envoyés avant que les exilés de la Commune prennent le relais en 1887. En 1889, ce sont 300 condamnés qui vivaient sur le site. C’est à cette époque que les sources d’eau chaude de la baie furent aménagées. En 1907, les relégués furent déplacés sur Ducos et le village se vida. Puis, une mine de fer y fut exploitée de 1956 à 1968. »
« Aujourd’hui le village, patiemment restauré, est entretenu par une association de riverains qui a reconstruit la poudrière datant de 1884. Les racines de banians géants ont depuis emprisonné les pans de murs en pierre, jadis taillés par les bagnards. »
http://www.mont-dore.nc/index.php?option=com_content&view=article&id=208&Itemid=314
Et nous n’avons pas été beaucoup plus chanceux que la fois précédente. Nous n’avons pas pu observer de baleine à bosse mais un rorqual pendant quelques minutes avant qu’il ne plonge.
Nous avons par contre eu de la chance avec la météo : encore une très belle journée ensoleillée.
Voici l’occasion rêvée de vous parler du village de Prony. Didier (le propriétaire du bateau Captain Woodin) y possède une maison. Le village ne compte actuellement que 2 habitants permanents et regorge de vestiges du bagne de Prony. Un pan de mur en ruine se trouve d’ailleurs dans le jardin de Didier !
« Fondé à l’origine, en 1867, pour ravitailler Nouméa en bois, il fut transformé en pénitencier en 1873. Cent cinquante forçats y furent envoyés avant que les exilés de la Commune prennent le relais en 1887. En 1889, ce sont 300 condamnés qui vivaient sur le site. C’est à cette époque que les sources d’eau chaude de la baie furent aménagées. En 1907, les relégués furent déplacés sur Ducos et le village se vida. Puis, une mine de fer y fut exploitée de 1956 à 1968. »
« Aujourd’hui le village, patiemment restauré, est entretenu par une association de riverains qui a reconstruit la poudrière datant de 1884. Les racines de banians géants ont depuis emprisonné les pans de murs en pierre, jadis taillés par les bagnards. »
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